#Hôtel

Cette rubrique accueillera des articles descriptifs, traitant des différents espaces et fonctions offerts par l'hôtel de Dijon.

Une chambre, un objet design, la piscine, le bar, l'architecture de l'hôtel, la salle de sport, ou un petit détail, je vous dirai tout ... 

Bienvenue dans ma chambre #3 : la Twin

Le 7 mai 2015.

Jour 32. 

Je vous ai parlé de la Cocoon et de la Merveilleuse (celles du 5e étage sont complètement marvellous!).

Voici à présent la Twin.

Cette chambre est un peu mon repère de la convivialité. Quand Gwen, à la réception, me confie la précieuse carte ouvrant une Twin, je suis en général proche de la crise d'épilepsie. Premièrement car la Twin est magnifique et spacieuse. Mais surtout, comme son nom l'indique, elle abrite deux grands lits pour deux fois plus de joie. Car si on compte bien, deux grands lits, cela représente potentiellement quatre amis.

Et oui, le Vertigo permet cela aussi. Se réunir entre proches dans une chambre hyper design avec spa et vélos électriques à volonté.

Que de souvenirs déjà accumulés dans cette Twin avec tous ces amis qui sont venus passer un séjour au Vertigo à mes côtés.

Et c'est pas fini.

Après les amis, voilà la famille qui débarque. Anniversaire oblige.

Alors avant que la chambre ne soit envahie de rires, de cadeaux (oui trois anniversaires en même temps c'est toujours Noël bis) et de désordre, laissez-moi vous la présenter.

Toujours autant de douceur et de lévitation au niveau literie pour faire de beaux rêves.

Des rangements optimisés pour limiter l'effet tornade dans la chambre.

Petits chaussons et peignoirs pour filer au spa emmitouflé.

La salle de bain se ferme totalement pour plus d'intimité. Bonne idée parce que bon, même si on aime ses proches, il y a des limites tout de même.

Et les classiques du Vertigo : téloche de l'espace, mini-bar, expos photos au plafond et Ours Pompon en goguette sur les murs.


L'Ours Pompon : emblême du Vertigo

Le 6 mai 2015.

Jour 32.

Vertigo, la minute culturelle.

Avec toutes ces visites, j'en ai appris des belles sur Dijon (Lire Un week-end (culture) entre amis au Vertigo #3). Et sur l'Ours de Pompon plus particulièrement. La fameuse sculpture que je vois partout depuis mon arrivée.

Il fallait bien apporter quelques explications sur la présence de l'Ours Pompon au milieu du parc Darcy, mais aussi au Musée des Beaux-Arts et surtout ... partout dans l'hôtel Vertigo! En photo ou sous forme de petites reproductions (auxquelles on a envie de faire des bisous). "L'Ours blanc", de son intitulé complet, est toujours posé à la verticale, se promenant sur un mur, dans chaque chambre.

L'animal aux lignes épurées a été revisité ici au Vertigo, il se fait noir sur fond blanc.

Son auteur, François Pompon, sculpteur de Saulieu, a réalisé cette œuvre en 1922. Elle tranchait par son modernisme. L'original se trouve au Musée d'Orsay, à Paris mais les Dijonnais ont de la chance. Elle fut reproduite par Henri Martinet, ami de l'artiste, la ville de Dijon ayant voulu rendre hommage au sculpteur de la Côte d'Or. On peut aller caresser le fameux Ours blanc dans le joli Square Darcy. En face du Vertigo.


J'ai testé les vélos électriques du Vertigo

Le 1er mai 2015.

Jour 29.

Au Vertigo, des vélos électriques qui claquent sont mis à disposition des clients.

Pédaler prend ici une toute autre dimension. C'est-à-dire que la notion de souffrance disparaît totalement. Un coup de pédale et on décolle. 

La structure du vélo est légère, la selle confort et surtout, les différentes fonctions, notamment Sport et Turbo permettent de dépasser tous les records. 40 km/h en vélo perso, je n'avais jamais testé.

Alors bon, cela n'aide pas forcément à éliminer les kilos bourguignons. Mais partir à la découverte de Dijon se transforme en un réel moment d'évasion. Toute la ville devient accessible en un coup de pédale. Ces petites bêtes sont incroyablement rapides.

Un tour au Consortium, au Parc de la Colombière et finition shopping dans les petites rues du centre-ville.

C'est easy.


L’hôtel Vertigo, architecturalement parlant

Le 29 avril 2015.

Jour 26. Le Vertigo vu par un architecte :

C’est derrière une façade haussmannienne que se cache un hôtel à la modernité étonnante. Si de l’extérieur rien ne signale l’originalité intérieure, quelques indices titillent la curiosité.

Un étendard noir flanqué d’un V flotte sur l’avenue Desvoge de Dijon. Et à la tombée de la nuit, la façade classique s’anime. Des éclairages multicolores viennent rompre la monotonie de la rue, les fenêtres commencent à dévoiler l’ambition du lieu : faire de ce bâtiment classique idéalement placé dans Dijon, un fleuron de l’hôtellerie design en France.

Le glissement entre les deux mondes s’opère par couche successive en partant de l’extérieur vers l’intérieur.

Tout d’abord la façade. En pierre, protectrice, isolante thermiquement et acoustiquement.

Derrière cette épaisseur protectrice se love la chambre. Spacieuse, lumineuse, tout de blanc vêtue avec ses corniches et ses moulures classiques à la régularité contrariée. Elles s’interrompent, se fragmentent, rencontrent un ours blanc mais noir qui marche sur le mur en direction du plafond. Cette sculpture miniature fait écho à l’Ours Pompon qui occupe le parc Darcy au pied de l’immeuble du Vertigo. Si cette sculpture épurée réalisée par François Pompon a fait sensation au Salon d’Automne en 1922, la retrouver en miniature, à la verticale sur un mur, n’est pas moins étonnant. Cet élément contextuel fait le lien entre le passé et le présent tout en projetant l’hôtel dans le futur.

Le glissement s’opère définitivement avec l’espace salle de bains attenant à la chambre. Ici, des miroirs forment un U traversés par un bandeau LED. Cet espace charnière où les reflets se diffractent à l’infinie crée une brèche spatio-temporelle, nous faisant passer de la réalité au rêve. Nous entrainant dans un monde magique.le lit semble voler, débarrassé de la pesanteur. Où l’eau devient lumière, passant du bleu au rouge en fonction de sa température. La télé, une centrale interactive.

Le luxe, la volupté, le souci du détail concret.


J'ai testé la salle de projection privée du Vertigo

Le 28 avril 2015.

Jour 25.

C'est LE gros bonus de l'hôtel Vertigo (bon la voiture et les vélos électriques BMW à dispo sont pas mal aussi) : une salle de projection rien que pour soi. On la réserve à la réception pour visionner le film de son choix ou, deuxième option, on se greffe à la séance prévue par l'hôtel

Alors imaginez.

Une magnifique journée dans les vignes, une délicieuse table, quelques douces brasses dans la piscine du Vertigo puis l'envie d'une bonne toile apparait pour parfaire cette journée.

Les cinémas ne sont pas loin du Vertigo mais nul besoin de traverser la rue finalement. Et aucun risque de voir un mauvais film : car on fait son choix.

Il suffit donc de prendre l'ascenseur, de sélectionner son film parmi les DVD ou de le fournir sur un support USB

Boris s'occupe de tout et en quelques minutes, noir complet. Posée sur des sièges rouges XXL, je suis prête, la séance commence. Et si on ne se sentait pas encore assez détendu, on peut étendre ses gambettes. Bonheur cinématographique.

La salle est sous les voûtes, ambiance cave réaménagée. Moquette au sol, totalement insonorisée, la salle de projection est moderne mais ne manque pas de charme avec ses pierres apparentes et ses murs d'un noir profond.

Ce soir-là, j'ai visionné "Hunt", très bon film danois réalisé par Thomas Vinterberg. Mais on peut regarder aussi un bon gros "Fast and furious". Promis on ne dira rien.


Bienvenue dans ma chambre #2 : la Merveilleuse

Le 23 avril 2015.

Jour 23.

Voici à présent La Merveilleuse. Après la Cocoon (je vous en parlais la semaine dernière), voici celle qui vous fera craquer. Niveau prix, on ne fait pas le grand écart (cocoon 149 euros; merveilleuse 155 euros) et franchement cela vaut le coup.

De l'espace en plus, un bureau avec davantage de confort, beaucoup de rangements, on se sent à l'aise.

Pour l'instant la Merveilleuse est ma préférée (mais j'avoue je n'ai pas encore testé la Suite!).

Niveau aménagements, on retrouve les mêmes équipements du futur : la télé multifonctions hyper design, le mini bar, le lit flottant. Cette fois, il y'a même un espace salon en plus : fauteuil design et table basse pour lire le journal du matin ou regarder la télé en forme d'iphone géant. Et toujours, le petit détail qui change : la chaise et le petit tabouret aux couleurs acidulées.

La salle de bain est plus grande encore et il y a des miroirs dans tous les coins ce qui accentue la sensation d'espace. 

Entre nous, les Merveilleuses sont toutes merveilleuses mais celles situées au dernier étage, sous les toits, sont une promesse de moments magiques.

La Merveilleuse : 

+1 : pour tous les miroirs dans la salle de bain qui permettent de se voir de dos, histoire de vérifier ses arrières, c'est important.

-1 : non là je ne vois pas... car ça y est on peut faire sa séance de yoga si on veut. Il ne me manquait plus que ça en fait.


L'ascenseur vertigineux du Vertigo

Le 22 avril 2015.

Jour 22.

Vous aussi vous avez déjà vécu ce moment sympa de l'ascenseur?

Moment de partage intense à base de "Bonjour, vous allez au combien?" "Quatrième." Voilà voilà. Silence gênant. "Et vous?" "Deuxième" Et là, un doute énorme qui submerge : "Est-ce que l'ascenseur va s'arrêter au 4 avant le 2? voilà ça m'apprendra j'aurai pas dû être polie."

S'en suit alors un moment de richesse musicale incroyable. Car voici la célèbre musique d'ascenseur qui commence. Clederman ou reprise de la Macarena au piano, au choix. Et toujours ce silence gênant.

Oubliez tout ça et montez à bord de l'ascenseur du Vertigo.

Ambiance lounge et décollage immédiat. Pas le temps d'échanger des mondanités, on est aspiré directement par ce qui se déroule sous nos pieds.

Le sol est en verre et le regard est scotché au V du Vertigo qui s'éloigne à mesure que l'on s'envole.

Au Vertigo, lorsqu'on prend l'ascenseur à plusieurs, tout le monde regarde ses pieds mais ce n'est pas pour passer le temps, c'est par émerveillement. Et l'émerveillement ça rapproche les gens. On a tout de suite beaucoup plus de choses à se dire.

Alors au fait vous alliez au combien?


J'ai testé la salle fitness du Vertigo

Le 21 avril 2015.

Jour 21.

Au Vertigo, on a deux options pour éliminer les kilos en trop que la Bourgogne distribue sans compter.

On court jusqu'au lac Kir (oui comme un kir si vous voulez l'explication c'est par là, décidément même en faisant du jogging on en revient toujours à l'apéro c'est infernal) ou au choix, on pousse jusqu'au parc de la Colombière que j'ai renommé le parc au lama rasta.

Sinon, beaucoup plus simple : on prend l'ascenseur du Vertigo et on décolle pour San Francisco. Et détrompez-vous, c'est beaucoup plus près qu'il n'y paraît. Grâce à un effet spécial incroyable, en montant sur le vélo de la salle de fitness du Vertigo, on se retrouve propulsé sur le Golden Gate ou le long de Ocean beach cheveux dans le vent. On peut donc choisir l'option parcours bord de mer à San Francisco ou dans la city. Incroyable, on ressent tous les effets du parcours (tapis et elliptique) : montée, descente, un véritable ascenseur musculaire.

Les autres appareils permettent une autre promenade. Plutôt en mode geek. Parfait pour moi, je peux twitter, vous écrire, publier sur Facebook tout en courant et en suant tout ce que je peux. L'accès à Internet est super facile, les applis à dispo, on reste connecté en même temps qu'on élimine toutes les toxines.

Et pour les culturistes amateurs, il y a également un appareil de musculature totalement design et ultra fin mais qui permet pourtant de soulever trois fois son poids.

Bref, le Job de rêve permet de sculpter son corps. Encore faut-il donner autant à la salle de sport que l'on prend à la gastronomie bourguignonne. Je ne suis pas sûre d'être encore raccord sur le ratio. Je prends plus que ce que l'on me donne pour l'instant. Je vais tenter d'inverser la tendance.

Bilan dans un mois.

Bientôt, on parle de la salle de projection privée... Juste à côté de la salle de fitness.


J'ai testé la voiture du futur du Vertigo

Le 18 avril 2015.

Jour 18.

14h30. Ma copine Clémentine et moi-mêmes montons à bord de la BMW électrique du Vertigo. J'avais déjà expérimenté la bête mais ne l'avais point encore domptée. (Pas ma copine mais la BM. Of course.)

C'est une voiture hybride : mi-élecrique, mi-essence. Elle est donc génératrice de suspens. C'est très particulier de voir la batterie électrique se vider au fur et à mesure des kilomètres. Au début, on se demande : va-t-elle m'emmener à bon port ou me laisser galérer sur la bande d'arrêt d'urgence cherchant désespérément une rallonge ou un groupe électronène dans la campagne bourguignonne?

Nous décidons tout de même d'aller visiter les hospices de Beaune (je vous raconte ça vite).

Ce n'est pas le bout du monde depuis le Vertigo. Je me résous à faire confiance à ce joli engin venu tout droit du futur.

Ici, fini tout le vocabulaire classique du monde automobile : embrayage, vitesses, pollution. C'est derrière nous tout ça.

Elle se commande du bout de l'index. Tableau de bord proche du cockpit. Attention on va décoller.

Bon pas tout de suite en fait. Je me familiarise avec la bête et rentre la destination dans le GPS : Hospices de Beaune.

La dame du GPS se met à communiquer. Elle n'émet pas forcément d'avis sur le choix de notre visite mais nous guide. Bien sûr, on décide de ne pas suivre ses instructions, nous ne sommes pas trop du genre disciplinées. Cela l'agace rapidement et elle est en boucle, répètant qu'il faudrait peut-être faire demi-tour.

Finalement, on a suivi les panneaux "Toutes directions" et nous voilà sur la route de Beaune. Plus sympa que l'autoroute madame si je peux me permettre.

Et c'est là que l'on se rend compte de la dimension "BMW" de la petite voiture électrique. Elle en a sous le capot ou sous la pédale enfin bref, dans son petit coeur électrique, ça envoie.

Pétillante, féminine, dynamique. Comme nous quoi.

Elle possède aussi l'option tu-es-une-star-dans-ta-caisse. Ainsi, elle permet de chanter très mal et très fort sans aucune retenue (je vous jure c'est mieux sans le son, pour tout le monde).


Le room service du Vertigo :  des bocaux sur un plateau

Le 15 avril 2015.

Jour 17.

Il me fallait encore un peu d'aide pour récupérer de ce week end de folie.

C'était donc le moment de tester le room service. Au choix : des soupes bio (potiron ou tomate), du chou farci, des tortellinis ou... un boeuf bourguignon pomme de terre.

J'ai craqué.

Le concept? Ce sont des bocaux préparés par la maison Meunier, un délice qui me fait penser à la bonne cuisine de mamie.

Pour le boeuf bourguignon : surprise la viande est tendre, la sauce bourguignonne épaisse, les petites pommes de terre fondantes.

Le plat, tout chaud, arrive sur un plateau. Je n'ai plus qu'à choisir le film et c'est parti pour une soirée cocooning récupération en tête à tête avec moi-même.

En dessert, j'opte pour la petite douceur chocolat café. Attention pour les chocolat addict, nous avons un problème. Cacao, café, biscuit ont fusionné avec du caramel. C'est la nouvelle recette pour éradiquer la faim dans le monde. 

Prochainement, je vous parle des machines qui sauveront peut-être mon été : celles de la salle de sport. Mais il faut que j'apprenne à les fréquenter quotidiennement.


Déclaration aux coussins du Vertigo

12 avril 2015.

Jour 16.

Sophie, journaliste en direct du Vertigo parle des coussins de l'hôtel. Et elle semble inspirée...

 

Voici les coussins les plus doux du monde.

Il faudra m'expliquer comment ça marche.

C'est un peu l'idée qu'on se ferait d'une plongée dans les nuages.

Septième ciel, plumes, bonheur, douceur.

En état d'apesanteur, laissez-vous tomber et plongez la tête sur le moelleux du coussin.

Tout est là pour épouser la courbe de votre corps.

 

Et elle ne croît pas si bien dire... Car l'un d'entre eux est à mémoire de forme. Et pas n'importe lequel : le petit carré noir d'Hermès (celui avec la gentille dame dessus). Il a été confectionné par la célèbre marque spécialement pour le Vertigo.

Une pièce différente dans chaque chambre.

Pour ma part, mon favori est celui qui s'appuie contre l'appui-tête, plus discret il pose à l'arrière. Pourtant il est incroyable. C'est tout simplement le coussin le plus gros du monde. Il vous prend dans les bras à tout moment de la nuit et vous fait un énorme câlin.

 

De quoi faire de beaux rêves ... et avec une sexy lady en plus.


Inside le mini-bar du Vertigo

Jeudi 9 avril 2015.

Jour 13.

Pendant le job de rêve on peut même recevoir des amis. Le but? Tester un week-end de folie entre copains au Vertigo de Dijon. Ça commence ce soir et je vous raconte tout (euh...à peu près tout). Je vous tiendrai au courant de nos folles aventures bourguignonnes : route des vins, Beaune, musée des Beaux-Arts, lac Kir...Tout un programme!

Le jeudi, c'est donc officiellement le début du week-end pendant le job de rêve. Alors on se prépare. Précaution indispensable : on vérifie que le mini-bar est bien rempli. Condition première pour réussir l'expérience du week-end de folie.

Comme d'habitude il fait le job : infusion bio (il est prévoyant), bouteille de champagne (il est chic!), bière bio (il est à la cool aussi), coca, eau et ...des dégustations d'alcools ...en tube!

Au Vertigo, on ne fait jamais rien comme tout le monde et cette fois, c'est sur la mise en bouteille que se joue toute l'originalité

Entre le shooter et le tube à essai, la prise en main est facile, le design classe. Bref on aurait presque envie de tout goûter.

Mais on se calme, le week-end va être long et demain on part sur la Route des vins donc restons prudents tout de même.

Tout est prêt. Le mini-bar, lui ne se doute de rien, pas méfiant. Faut dire depuis le temps que je le fréquente sans le toucher. Il pensait qu'il était tranquille. Mais maintenant, j'ai des partenaires pour trinquer dans ma chambre et je vais tester pour vous... le mini-bar du Vertigo!

Mais cela ne sera que l'une des nombreuses étapes de ce week-end de fête qui s'annonce. Car le mini-bar des chambres du Vertigo, c'est top; mais l'Embassy bar, avec les cocktails de Julien, c'est encore mieux j'vous jure. On vous en parle très vite (après dégustation dans les règles de l'art). Et l'Embassy est grand ouvert, il n'attend que nous (et vous aussi)!


Au secours la télé me parle

Vendredi 3 avril 2015.

Jour 10.

Vous pensez que l'on m'a totalement perdue? Que toute cette histoire de Job de rêve m'a retourné le cerveau?

Eh bien, vous n'avez pas tort, détrompez-vous.

J'affirme que la télévision tente d'entrer en communication avec moi et ce n'est pas une blague.

Et c'était bien avant la dégustation de vins. Oui oui je vous vois venir.

Je vous explique.

J'ai plusieurs faisceaux d'indices qui me font penser qu'elle cherche à dialoguer.

Premièrement, à chaque fois que j'entre dans une nouvelle chambre, elle s'allume toute seule sans que je touche à la télécommande ni au pommeau de douche d'ailleurs (il pourrait y avoir des liaisons improbables on ne sait jamais on est au Vertigo, monde du futur).

Comment sait-elle que je viens d'entrer dans la pièce? Cela me perturbe j'avoue...

Deuxième élément et pas des moindres, elle me souhaite la bienvenue. Normal.

Enfin, et c'est carrément flippant, elle connaît mon nom.

Et comme si tout cela ne suffisait pas, elle me propose plusieurs fonctions. Je vous en ai déjà parlé hier : "télévision qui fait aussi ordinateur, radio, miroir et j'ai un doute si elle ne fait pas centrale vapeur".

Je peux donc lire mes mails le matin depuis ma couette, écouter Nostalgie et lui demander de repasser ma chemise.

Elle me propose aussi plein de films. Je reconnais qu'elle a une solide culture cinématographique. Elle et moi on se rapproche un peu ces temps-ci.

Voici la bête. Il faut savoir qu'elle fait à peu près ma taille. Faut pas la chauffer je pense.

Bon j'ai bien réfléchi à tout ça. J'ai fait des schémas, des tableaux excel et j'ai une théorie : pour moi c'est clair, il y a un mec qui vit là-dedans. Un peu comme les hommes sandwich aux Etats-Unis. Au lieu d'être déguisé en hot dog géant, le type enfile sa tenue de Télévision HD. Allez sors de là Jean-Pierre tu vas attraper un torticolis à force de rester enfermé.

Et sinon vous ça va?

Jean-Pierre, c'est toi?



Welcome dans ma chambre #1 : la Cocoon

Jeudi 2 avril 2015.

Jour 9.

A présent, les portes du Vertigo sont ouvertes. Je peux donc vous faire le tour du propriétaire de la cliente qui s'incruste 42 jours.

Direct, je vous fais entrer dans ma chambre (c'est une expression, tout ceci est virtuel, restons amis c'est plus prudent). Elle fait aussi office de bureau (et elle le fait bien). Même si parfois il me prend d'aller écrire à une table du restaurant ou dans les salons (Mais j'essaie de limiter cette action car je crois que je fais peur aux gens. "Regarde chérie c'est encore la fille qui a un ordi greffé au bout des doigts").

Ce soir, je dors dans l'une des chambres qui porte le joli nom de Cocoon. (Mais demain? Demain on ne sait pas. Par principe, au coeur du Job de rêve, on ne sait jamais de quoi demain sera fait. Quelle angoisse! Enfin, on peut se reposer sur quelques valeurs sûres : a priori, je ne vais pas me retrouver projetée dans la zone industrielle de Vesoul.)

Dans la Cocoon, on est un peu comme dans un nid douillet géant qu'on ne voudrait plus jamais quitter. On est aspiré par du moelleux et du doux avec un soupçon de soyeux.

Elle est petite mais costaud (on en prend plein les yeux) et très bien optimisée.

Oui car on partait mal. J'ai cette qualité de pouvoir défigurer un espace en moins de trois secondes. J'étale de manière désinvolte fringues, chaussures et affaires de toilette partout mais vraiment partout. Le bordel, c'est ma signature. Mais la Cocoon m'a aidée à y voir plus clair. Elle m'a poussée à m'organiser, à me structurer dans ma vie, et à me prélasser. Espace rangement avec étagère assez large pour poser ma valise, niche pour entasser disposer soigneusement 41 paires de chaussures (Je ne sais pas si j'en aurais assez franchement).

Ces considérations pratiques derrière nous, commençons la visite.

Allez-y, après vous, poussez la porte.

Vous arrivez dans le premier espace salle de bain. La porte coulissante permet la séparation avec le reste la chambre. Malin.

Continuons. Voici le lit. Ah le fameux! Le lit je te présente les gens. Les gens le lit.

C'est un peu la pièce maîtresse selon moi. Dans chaque chambre du Vertigo, le lit n'a pas de prix (enfin si quand même) mais surtout, pas de pieds. Il flotte. Je ne compte pas en rester là. Croyez-moi on va avoir une petite discussion avec l'archi d'intérieur. Parce que là faut vraiment m'expliquer comment ça se passe.

Dans chaque chambre, deux éléments ne seront jamais les mêmes : une photographie accrochée au plafond et les fauteuils du coin bureau, toujours différents. 

Et maintenant je vous laisse déguster avec les yeux : espace bureau, salle de bain et télévision (qui fait aussi ordinateur, radio, miroir et j'ai un doute si elle ne fait centrale vapeur), je vous ai fait la totale. Je n'en dis pas trop sur ces éléments qui mériteront eux-même un petit post très bientôt.

Et la prochaine fois, je vous présente la Merveilleuse. Comme son nom l'indique elle a l'air plutôt sympa.

Et sinon je vous ai parlé du coussin le plus gros du monde?

Soon.

 

La Cocoon :

+1 pour l'optimisation du rangement

-1 parce que là, on ne peut pas faire sa gym dans la chambre. Allez hop, direction la salle de sport, la piscine ou carrément on court jusqu'au Parc de la Colombière pour taper la bise au lama rasta.


Une inauguration et une piscine boule à facettes

1er avril, jour de l'ouverture.

Jour 8. En cette journée d'inauguration de l'hôtel Vertigo. Il y a eu : de l'agitation, des micros, des discours, des rires, des flash et des coupes de champ'. J'ai pris en photo des journalistes qui me prenaient eux-mêmes en photos. On a fait une mise en abyme de nous-mêmes. Du coup, ça donne cet air-là (Et eux qui se demandent : Mais qu'est-ce qu'elle fait exactement là?).

J'ai souri, j'ai essayé de poser pour les photos de manière très naturelle genre bras le long du corps et dents serrées, magnifique. (Allez souris mais si souris stp). Et puis j'ai répondu aux questions. Etrange de se retrouver de l'autre côté.

Il y avait beaucoup de journalistes, alors j'ai répété beaucoup (trop) de fois les mêmes choses.

Comme l'impression d'être avec Bill Murray et la marmotte dans "Un jour sans fin".

Afin de me remettre de toutes ces émotions, j'ai dû aller tester la piscine évidemment. J'attendais d'avoir une excuse valable, genre "après l'effort le réconfort" tout ça.

Eh bien il faut savoir qu'au Vertigo, c'est un peu la grosse fiesta dans la piscine. Boules à facettes, musique, lumières tamisées. Mi-piscine, mi-boîte de night. Ce qui n'empêche pas de se détendre de tout son être.

La semaine prochaine, c'est la télé qui débarque. Du coup je vais devoir tester le massage d'une heure, obligé.

Et sinon vous pensez que ça se tente un mojito sous l'eau?